J'ai vu "Le royaume des blablabla " ...
... et je ne me sens guère plus instruit.
De ce documentaire, pas si inintéressant que ça malgré tout, bien que plombé par au moins deux défauts majeurs, la quasi-absence d'Isao Takahata et sa musique d'ascenseur, je ne retiens qu'une parole "Ghibli n'est qu'un nom, après tout" (Hayao Miyazaki), qu'un plan (ci-dessus) "il faut continuer de vivre", et la conclusion qu'il impose à mon esprit "Passons à autre chose".